Et si Bernadette avait rêvé l’obscur ︎
18–05–25
Lauréate de l’Openfolio#5 de l’Institut pour la photographie de Lille. Restitution du projet Et si Bernadette avait rêvé l’obscur...au printemps 2026.


Et si Bernadette avait rêvé l’obscur ︎
23–09–24
Et si Bernadette avait rêvé l’obscur est un projet photographique sur les répliques des grottes de Notre-Dame de Lourdes, abritant Marie et représentant Bernadette à genoux. La construction abondante de ces répliques est un phénomène à l’échelle mondiale, près de 5000 recensements dont plus de 1000 en Belgique. En cause, les dix-huit apparitions mariales à Bernadette Soubirous dans la grotte de Massabielle à Lourdes en 1858.
Ce phénomène m’intéresse à la fois pour ce qu’il dit du contexte social et politique de l’époque et de la charge symbolique que porte l'apparition de la figure de la Vierge dans une grotte. Ainsi, je pose la question : quelle aurait été la vie de Bernadette si elle avait rêvé l'obscur à la place de l’Immaculée Conception ?
Ce phénomène m’intéresse à la fois pour ce qu’il dit du contexte social et politique de l’époque et de la charge symbolique que porte l'apparition de la figure de la Vierge dans une grotte. Ainsi, je pose la question : quelle aurait été la vie de Bernadette si elle avait rêvé l'obscur à la place de l’Immaculée Conception ?









Jusque là où l’eau est profonde ︎
07–11–24
07–11–24
Exposition de sortie de résidence internationale du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) : Jusque là où l’eau est profonde.
Échange entre le BPS22 – Musée d’art de la province de Hainaut (BE) et le centre Bang à Chicoutimi (CA).
Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de la Mini Bourse SOFAM.
Échange entre le BPS22 – Musée d’art de la province de Hainaut (BE) et le centre Bang à Chicoutimi (CA).
Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de la Mini Bourse SOFAM.
















Jusque là où l’eau est profonde ︎
18–08–24 au 17–11–24
Jusque là où l’eau est profonde explore la mémoire intime, collective et culturelle de l’eau à travers une approche écoféministe, sensible et spirituelle. L’artiste arpente les paysages, consulte les archives et interroge les récits inscrits dans les rivières. La rivière Chicoutimi, perçue comme un corps domestiqué par l’industrie, devient le point de départ d’une réflexion sur la colonisation, la modernité capitaliste et les systèmes de domination. L’eau, en tant que ressource, symbole et vecteur de mémoire, révèle les liens profonds entre nature, corporéité féminine et pouvoir. Elle devient un lieu de résistance et de réinvention, un espace d’écoute et de transformation.
Résidence internationale du Conseil des arts et des lettres du Québec Échange entre le BPS22 – Musée d’art de la province de Hainaut (BE) et le centre Bang à Chicoutimi (CA).
Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de la Mini Bourse SOFAM.
Résidence internationale du Conseil des arts et des lettres du Québec Échange entre le BPS22 – Musée d’art de la province de Hainaut (BE) et le centre Bang à Chicoutimi (CA).
Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de la Mini Bourse SOFAM.
