J’ai rêvé l’obscur ︎
15–06–21
Depuis 2020, je mène une exploration au long court à partir du livre Rêver l’obscur. Femmes, magie et politique que Starhawk (écrivaine et militante écoféministe, sorcière néo-païenne) publie en 1982 aux USA. Considérant ce récit comme un puissant outil de prise de conscience de son propre pouvoir (au sens premier du terme « être capable ») pour en finir avec le sentiment d’impuissance face à l’oppression des femmes et de la Terre.
J’ai rêvé l’Obscur s’inspire librement d’écoféminisme et de ses dimensions païenne et spirituelle. Il propose une autre vision du monde inspiré de diverses croyances, fait de déesses, de Vierges et de sorcières, de rocailles et de grottes, de mythes et de rêves...
Ici, on parlera de puissance plutôt que de pouvoir. C’est l’univers des forces invisibles de la Nature, un monde où l’on (re)ferait corps avec la Terre. Il relie le spirituel au politique, le sacré au profane. Ce propos n’a aucune visée dogmatique. C’est une attraction, une spiritualité qui m’est propre.
J’ai rêvé l’Obscur s’inspire librement d’écoféminisme et de ses dimensions païenne et spirituelle. Il propose une autre vision du monde inspiré de diverses croyances, fait de déesses, de Vierges et de sorcières, de rocailles et de grottes, de mythes et de rêves...
Ici, on parlera de puissance plutôt que de pouvoir. C’est l’univers des forces invisibles de la Nature, un monde où l’on (re)ferait corps avec la Terre. Il relie le spirituel au politique, le sacré au profane. Ce propos n’a aucune visée dogmatique. C’est une attraction, une spiritualité qui m’est propre.
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