Jusque là où l’eau est profonde ︎
18–08–24
16–11–24
Résidence internationale du Conseil des arts et des lettres du Québec Échange entre le BPS22 – Musée d’art de la province de Hainaut (BE) et le centre Bang à Chicoutimi (CA).
Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de la Mini Bourse SOFAM.
Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de la Mini Bourse SOFAM.

Et si Bernadette avait rêvé l’obscur ︎
23–09–24
Et si Bernadette avait rêvé l’obscur est un projet photographique sur les répliques des grottes de Notre-Dame de Lourdes, abritant Marie et représentant Bernadette à genoux. La construction abondante de ces répliques est un phénomène à l’échelle mondiale, près de 5000 recensements dont plus de 1000 en Belgique. En cause, les dix-huit apparitions mariales à Bernadette Soubirous dans la grotte de Massabielle à Lourdes en 1858.
Ce phénomène m’intéresse à la fois pour ce qu’il dit du contexte social et politique de l’époque et de la charge symbolique que porte l'apparition de la figure de la Vierge dans une grotte. Ainsi, je pose la question : quelle aurait été la vie de Bernadette si elle avait rêvé l'obscur à la place de l’Immaculée Conception ?
Ce phénomène m’intéresse à la fois pour ce qu’il dit du contexte social et politique de l’époque et de la charge symbolique que porte l'apparition de la figure de la Vierge dans une grotte. Ainsi, je pose la question : quelle aurait été la vie de Bernadette si elle avait rêvé l'obscur à la place de l’Immaculée Conception ?









La Chapelle des peines pour le monde ︎
11–04–24
Explorer la résurgence contemporaine des croyances et des rites à travers un programme de performances uniques avec le 𝐋𝐚𝐛𝐨𝐫𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐭𝐮𝐞𝐥𝐬 au Musée Juif de Belgique du 11 mai au 1 septembre 2024.
Au cœur du 𝐋𝐚𝐛𝐨𝐫𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐭𝐮𝐞𝐥𝐬, quatre artistes performeurs, Hilal Aydoğdu, David Bernstein, Barbara Salomé Felgenhauer et Zinaïda Tchelidze, s’engagent à réenchanter le monde à travers la construction de nouvelles mythologies qui les touchent et les inspirent.
Dans ce laboratoire artistique, ces artistes explorent les profondeurs de l’imaginaire collectif, s’aventurant dans les recoins de l’histoire, de la culture et des traditions. Ils nous invitent à plonger dans leurs univers artistiques, à traverser des passages entre les mondes visibles et invisibles, pour découvrir de nouvelles manières d’être et de comprendre le monde.
Grâce à leurs performances, ces artistes nous offrent des moments intenses où le sacré et le profane se rencontrent, où les émotions se déploient et les questionnements se multiplient. Ils nous ouvrent des portes vers des expériences sensorielles et intellectuelles, nous invitant à réfléchir sur notre propre rapport aux croyances, aux mythes et aux rites.
Au cœur du 𝐋𝐚𝐛𝐨𝐫𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐭𝐮𝐞𝐥𝐬, quatre artistes performeurs, Hilal Aydoğdu, David Bernstein, Barbara Salomé Felgenhauer et Zinaïda Tchelidze, s’engagent à réenchanter le monde à travers la construction de nouvelles mythologies qui les touchent et les inspirent.
Dans ce laboratoire artistique, ces artistes explorent les profondeurs de l’imaginaire collectif, s’aventurant dans les recoins de l’histoire, de la culture et des traditions. Ils nous invitent à plonger dans leurs univers artistiques, à traverser des passages entre les mondes visibles et invisibles, pour découvrir de nouvelles manières d’être et de comprendre le monde.
Grâce à leurs performances, ces artistes nous offrent des moments intenses où le sacré et le profane se rencontrent, où les émotions se déploient et les questionnements se multiplient. Ils nous ouvrent des portes vers des expériences sensorielles et intellectuelles, nous invitant à réfléchir sur notre propre rapport aux croyances, aux mythes et aux rites.













La Chapelle des peines pour le monde ︎
11–04–24
Lors de la première ouverture de La Chapelle des peines pour le monde au Festival Trouble #13, plus de soixante peines ont été déposées au pied du corps-autel. Ces peines anonymes sont gravées les unes à côté des autres sur un des murs de l’exposition du 𝐋𝐚𝐛𝐨𝐫𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐭𝐮𝐞𝐥𝐬 lors de plusieurs sessions ponctuelles entre le 11 avril et le 1 septembre. Cette fresque commune nous permet de prendre la mesure de ce qui nous mobilise aujourd’hui et peut-être de prendre conscience que nous ne sommes pas tout à fait seul·e face à nos désespoirs.








